En 2012, il livre son premier album, produit par Arnaud Rebotini, sur lequel Etienne Daho faisait une apparition (The only one). Électron libre et audacieux de la scène française, il empile les dates prestigieuses aux Inrocks Festival, au Montreux Jazz Festival ou encore aux Vieilles Charrues. Pour son deuxième long format, Wagner s’attelle lui même à la production, et privilégie un son plus chaleureux et plus sophistiqué. Le disque met ainsi en lumière les deux facettes de l’artiste, entre post funk et indie dance, et une "mild side", composée de ballades qui servent pleinement sa voix de crooner moderne.