Dans ce deuxième album animé par une ingéniosité démente, le quatuor post-punk trouve une jouissance récréative exprimée par un humour noir et caustique. A l’image de la contradiction du titre, qui renvoie à l’acceptation de nos malheurs quotidiens, cet album est un assemblage de dichotomies, un déchirement frénétique. La recette ? Des larsens chatoyants, une hémorragie de saxophones, des refrains entêtants et une dose de poison.