Ce quatrième album puise son inspiration aux confins du désert californien. On y croise ainsi les silhouettes de Lee Hazlewood, Carole King, ou encore Laetitia Sadier, le long de ses dix titres solaires. Cet opus teinté de pop et de psychédélisme, n'en oublie pas la pop française des sixties de ces prédécesseurs, et notamment celle de Françoise Hardy, avec toujours cette écriture introspective et poétique qui forge des textes comme de petites histoires intimes aux propos pourtant universels. Résolument optimiste, Ne pas trop rester bleue célèbre la renaissance et le lâcher prise. Une couleur qui contraste avec le vague à l'âme des débuts de Laure Briard. Ne pas trop rester bleue révèle une nouvelle facette d'une artiste surprenante, bien décidée à se renouveler à chaque album.
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