Cet album de Calvin Johnson est une expérimentation sonore. Il est entré dans le studio Audio Eagle à Nashville avec pour seul prémice l’expression "Le rock’n’roll ne mourra jamais". Travaillant de près avec le producteur Patrick Carney (The Black Keys) et l’ingénieur Marc Whitmore, l’équipe de musiciens a testé la résilience de matériaux intemporels comme des guitares électriques, des synthétiseurs et des accords simples. Le résultat s’apparente à un monstre de Frankenstein, une wonderful beast. Un élément important du son réside dans la contribution de la chanteuse Michelle Branch, dont les chœurs magnifiques ornent trois chansons.