Entre démons, guitares électriques et ordinateurs. Entre transe et possession. Rituel adorciste et post-industriel de Sidi Marzûq, désert du Djérid, Sahara, Tunisie. Chez Ifriqiyya Electrique, menés par François Cambuzat, les esprits possèdent les corps, demandent à se nourrir d’une musique à la modernité évidente : ainsi, du Djérid jusqu’aux clubs rocks moscovites et aux discothèques d’Ibiza, le besoin de s’oublier, de partir en transe est identique.