Le huitième album de la britannique basée à Berlin est une autobiographie autoproduite, reflétant la vision panoramique de ses influences disparates et complexes : harmonies pop 70’s, disco, surf, gothique, science-fiction, psychédélisme à la Dark side of the moon, chanson à la Melody Nelson et plus encore. Gemma Ray a sculpté un son à elle, familier et chaud, mais aussi plein de noirceur. Tout le long de cet enregistrement, elle dessine des connexions entre le paysage réel et le paysage mental, comme en témoigne le titre de l'album.