Cet album a été enregistré à Los Angeles et co-produit avec Chris Cohen de Deerhoof ainsi qu’à Richmond en Virginie avec Trey Pollard (Natalie Prass, The Waterboys, Bedouine) qui s’est occupé des cordes et cuivres de Spacebomb. Après son premier disque acclamé par la critique, Fading lines, European heartbreak fait un réel pas en avant avec des sons pop 60's oscillants entre Berlin, l’Espagne et le sud de la France. Le disque se concentre sur le passé, la mémoire et notre tendance à fantasmer les événements de notre vie. Quand on examine réellement son passé la désillusion est presque inévitable face à cette carapace d’idéalisme.