Ce huitième opus est le premier album à ne pas intégrer l'instrument pourtant emblématique de l'artiste dublinois, la guitare. Et ce n'est qu'une surprise parmi tant d'autres de cet album passé entre les mains expertes du musicien et producteur Thomas Barlett, aka Doveman (Sufjan Stevens, Martha Wainwright, The Magnetic Fields). Le résultat est un disque immersif qui habite un monde feutré de rêves et de désirs. Comme avec les précédents enregistrements, un vent de poésie et une bouffée de renouveau littéraire transparait, reflétant le flair lyrique de son créateur et son style d'écriture élégant.